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Paillardes Médicales
Cy n'entrez pas, hypocrites bigots Rabelais |
Voici les paillardes les plus chantées à Strasbourg :
L'Hymne des Carabins
Suzon
Cette fois-ci...
Fanchon
Neuf mois dans un ventre
Fric Pharma
Le Grand Vicaire (original - strasbourgeois)
De frontibus
Les sains et les anges
Et tous les élus
Quand ça les démange
Se grattent le cul
Refrain (le petit doigt en l'air et levé)
Avé, avé, avé le petit doigt (bis)
Avé le petit doigt la bite au cul
Les couilles pendantes,
Avé le petit doigt la bite au cul
Bien enfoncée,
ho hé, ho hé, ho hé (bis)
Les saints et les archanges
Ces fils de putains
Quand ça les démange
Se grattent le boudin
Les saints et les anges
Comme les Carabins
Quand ça les démange
S'enculent les catins
Il était une fille, qui s'appelait Suzon,
Et qui aimait à rire, avec tous les garçons.
Refrain
Ah la salope, va laver ton cul, malpropre,
Car il est pas propre tirelire
Car il est pas propre tirela
Car il est pas propre tirelire
Car il est pas propre tirela tirela tirela
Et qui aimait à rire, avec tous les garçons,
Mais à force à force de rire, son ventre devint rond.
Mais à force de rire, son ventre devint rond,
Sa mère de lui dire : "Qui t'a fait ça Suzon ?"
Sa mère de lui dire : "Qui t'a fait ça Suzon ?"
C'est l'fils du garde-barrière, avec son gros bâton.
C'est l'fils du garde-barrière, avec son gros bâton,
Au bout y'avait d'la crème, mon dieu que c'était bon.
Au bout y'avait d'la crème, mon dieu que c'était bon,
Si c'était à refaire, nous recommencerions.
1 fois, 2 fois, ..., 6 fois,
Cette fois j'la sens bien tu m'l'a mise,
Ce n'est plus ton p'tit doigt qui m'chatouille
Je sens à travers ta chemise,
La douce chaleur de tes couilles.
Ton doigt n'était pas si mouillé,
Il allait et venait sans cadence,
Maint'nant c'est bien plus régulier,
Ca rentre, ça sort, ça fait ressort,
C'est la jouissance.
Les couilles de mon grand-père,
Sont pendues dans l'escalier,
Et ma grand-mère, se désespère
De les voir se dessécher.
Car c'est la plus belle paire,
De toutes les couilles du quartier,
On peut les voir, les admirer,
Tous les ans au quatorze juillet.
Et le dimanche, j'm'astique le manche,
Car il vaut mieux s'astiquer l'noeud,
Que d'avoir mal au bout d'la queue,
Et si ma pine, fait triste mine,
C'est que Suzon s'est mal lavée, lavée (bis)
Lavée le con à l'eau chaude.
Amis, il faut faire une pause
J'aperçois l'ombre d'un bouchon.
Buvons à l'aimable Fanchon
Chantons pour qu'elle quelque chose
Refrain
Ah! que son entretien est doux
Qu'elle a de mérite et de gloire
Elle aime à rire, elle aime à boire (terà
Elle aime à chanter comme nous.
Fanchon quoique bonne chrétienne,
Fut baptisée avec du vin.
Un bourguignon fut son parrain,
Une bretonne sa marraine.
Fanchon préféra grillade,
A tous les mets plus délicats.
Son teint prend un nouvel éclat,
Quand on lui verse une rasade.
Un jour le copain la Grenade,
Lui mit la main dans son corset,
Elle répondit par un soufflet,
Sur le museau du camarade.
Si quelquefois elle est cruelle,
C'est quand on lui parle d'amour,
Mais moi je ne lui fait la cour,
Que pour m'enivrer avec elle.
J'ai passé neuf mois dans un ventre
A r'garder par le trou d'la fente.
Je voyais la bite à papa
Qui venait jouer avec moi.
Elle avait une si fière allure,
Elle battait si bien la mesure,
La prenant pour un biberon,
J'la suçais jusqu'aux roustons !
Mais un jour, je vis la lumière,
Je me dis : qu'est-ce donc cette affaire ?
Une sage-femme qui passait par là
M'attrapa par mes petits bras,
Me plongea dans une bassine,
Pour m'ôter l'odeur de la pine.
Maintenant que je suis plus grand,
Je m'en vais en faire autant.
La la ta la la (ter)
Demi-tour
La la ta la la
J'ai pas eu mon mon bac, mais moi j'suis ravi,
L'an prochain en fac, j'fais d'la pharmacie.
J'aime bien la faire marcher, la caisse mécanique,
Ca doit pas être compliqué, de vendre des cachets.
Refrain (4 fois)
Fric fric fric fric fric fric
Fric fric fric fric pharma
J'ai eu mon concours, ca y'est c'est parti,
A la pharmacothèque, je cherche mes amis.
J'aimerais bien l'approcher, la fille de Médecine,
Mais quand on est épicier, on a pas d'copine.
La journée passée, je colel des affiches,
Pour la discothèque, faut faire des entrées.
J'aimerais bien la troncher, la fille de Médecine,
Je regarde les carabins poutrer mes copines.
Après des années derrière mon comptoir,
A vendre des tisanes, des suppositoires,
Fric fric fric fric fric fric fric, j'adore le pognon,
J'vais pouvoir me la payer, ma grande maison.
Le grand vicaire (version originale)
Chez nous la musique,
Est fort en pratique.
Moi j'fais d'l'accordéon,
Ma femme aime le violon,
Et le curé la viole.
Refrain
Mais le grand vicaire,
Toujours par derrière,
N'a jamais pu la violer
Et c'est ce qui l'emmerde !
Chez nous les voyages,
Sont fort en usage.
Moi j'ai vu le Missouri,
Ma femme le Mississipi,
Et le curé la Perse.
...
N'a jamais pu la percer
...
Chez nous la rivière,
Est profonde et claire.
Moi je la franchis d'un seul bond,
Ma femm' la pass' sur le pont,
Et mon curé la saute.
... la sauter
Pour punir les gosses,
Je ne suis pas rosse.
Je préfère les pincer,
Ma femm' leur fout des fessées,
Le curé des calottes.
...
N'a jamais décalotté
...
Quand un enfant se blesse,
Vite je m'empresse.
Je cours à la pharmacie,
Ma femm' ell' fait d'la charpie,
Et le curé des bandes.
... débander
Le grand vicaire (version strasbourgeoise)
Chez nous la médecine,
C'est une coutume.
Mon papa, il fait les plâtres,
Ma maman, elle fait les piqûres,
Et mon curé les bandes.
Refrain
Et le grand vicaire,
Toujours par derrière,
N'a jamais pu débander.
Et c'est ce qui l'emmerde...
etc. (à chanter sous le modèle du premier couplet)
Chez nous .......,
C'est une coutume.
Mon papa, .......,
Ma maman, ........,
Et mon curé ............
De frontibus
remplacer les pointillés par le nom de l'estudiant
Ami ......... (bis)
Lève ton verre.
Et surtout, ne le renverse pas
Ca risque pas !
Et porte le au frontibus,
Au mentibus,
Au ventribus,
Au sexibus,
Et à l'anus,
Et glou, et glou, et glou, ........, et glou ! (jusqu'à ce que le buveur
ait terminé son verre)
P.S. (Nico) : S'il reste une seule goutte dans le verre, faire reboire jusqu'à ce qu'il n'en reste plus....
Il est des nô-ôtres,
Il a bu son verre comme les autres !
22/08/2003